A l’attention des sénégalais, des africains, de la communauté internationale, des observateurs de la vie politique du Sénégal

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En vertu de l’article 2 in fine de l’arrêté du Ministre de l’intérieur n°032005 du 25 Septembre 2023 fixant le nombre d’électeurs et d’élus requis pour le parrainage d’un candidat ainsi que les formats et contenus des fiches de collecte des parrainages en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024, « LA DÉLIVRANCE DES FICHES DE COLLECTE PAR L’ADMINISTRATION N ’EST PAS LA RECONNAISSANCE D’UN QUELCONQUE STATUT AU CANDIDAT À LA CANDIDATURE ».

Le refus de délivrer des fiches de collecte de parrainages à Ousmane SONKO, candidat à la candidature en vue de l’élection présidentielle du 25 février 2024 viole toutes les règles, les principes généraux du droit électoral ainsi que cet arrêté.

La Direction Générale des Élections (DGE) outrepasse ses compétences et ses prérogatives pour se substituer au Conseil constitutionnel seule autorité chargée de contrôler la recevabilité et de s’assurer de la validité des déclarations de candidature en vertu des articles 29 de la Constitution et L.123 du Code électoral.

Ousmane SONKO, maire de Ziguinchor, chef de l’opposition, CANDIDAT OFFICIEL DES PATRIOTES À L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DU 25 FÉVRIER 2024, FAIT L’OBJET DE DISCRIMINATION ET DE VIOLATION SYSTÉMATIQUE DE SES DROITS CONSTITUTIONNELS.

Ousmane SONKO est le seul Sénégalais à qui on refuse tous les droits de l’homme et qui subit manifestement toutes sortes de persecution, d’injustice, de discrimination, de négation violente de ses droits fondamentaux les plus élémentaires juste parce qu’il est un candidat à l’élection presidentielle conformément à la Constitution du Sénégal, la Charte africaine des droits de l’homme et des Peuples ainsi que les instruments universels des Nations Unies ratifiés par le Sénégal.

Mouhamadou Ngouda MBOUP

Enseignant-chercheur de droit public FSJP/UCAD

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